LES INFOS DU NET !!!

Google : les étudiants chinois à l'origine des attaques






Selon l’enquête de la CIA, les attaques subies par Google ces
derniers mois puiseraient leurs sources dans deux universités chinoises
réputées.

Un rapport avec le gouvernement chinois ?



L’une est basée à Shanghai. Reconnue pour sa section informatique,
Shanghai Jiaotong aurait été secondée par Lanxiang spécialisée dans la
formation des ingénieurs militaires.

Les intrusions dont ont été
victimes les serveurs de Google ont été découvertes en décembre
dernier. La firme de Mountain View avait alors menacé la Chine de se
retirer de son territoire et d’ôter les filtres utilisés sur les
internautes chinois.

Aujourd’hui, c’est le New York Times qui
révèle les sources de ces attaques. Reste à savoir s’il y a ou non un
lien entre les universités suspectes et le régime chinois.

Retrait de Google : la Chine souhaite la réconciliation





La réponse de la Chine à Google ne s’est pas faite attendre.
Pékin souhaite conserver google.cn et a également réaffirmé dans un
communiqué que « la loi chinoise interdit toute forme de cyberattaque »
dont a été victime Google.

Google lève la censure



La firme de Mountain View n’est pas restée les bras croisés en
attendant la déclaration du gouvernement chinois. Ainsi, il a décidé de
ne plus censurer les résultats de son moteur de recherche. Exemple sans
précédent, il est ainsi possible depuis mercredi de trouver des photos
des évènements de la place Tien an Men sur google.cn.

De cette
manière, Google entend faire pression sur le gouvernement chinois et
décider avec lui des conditions pour la mise en place légale d’un
google.cn libre.

Une affaire qui tourne à la politique



Pour Brian Plitz, l’affaire Google/Chine prend une tournure
politique : « cela dépasse Google maintenant. » Il ajoute même que « le
gouvernement américain va s’en mêler. »

Si jamais aucune entente
n’était possible, ce seraient 360 millions d’internautes que
sacrifierait Google, soit sa plus forte communauté. Il faut néanmoins
mettre en lumière que la marché chinois ne représente que de 220 à 600
millions de dollars par an pour Google, contre ses 22 milliards de
chiffre d’affaires à l’international.

Google menace de quitter la Chine


Google
vient d’annoncer qu’il envisagait de se retirer de Chine après avoir
été victime d’une attaque élaborée qui a permis le vol de propriétés
intellectuelles et le piratage de comptes Gmail.

Série de piratage




Selon le moteur de recherche, ce sont au moins vingt grosses
sociétés qui ont été visées par cette vague d’attaques. Google est donc
une victime parmi d’autres, mais l’impact et les conséquences
pourraient être plus graves que pour les autres.

En effet, les
pirates ont réussi à s’infiltrer dans les comptes Gmail d’activistes
chinois luttant pour les droits de l’homme. Google a tenté de rassurer
en expliquant que seuls deux comptes furent pénétrés et seuls les
objets des emails furent accessibles. Le contenu des messages n’aurait
pas été accédé.

La firme de Menlo Park révèle aussi que des
dizaines de comptes Gmail d’activistes américains, chinois et européens
ont été ouvert illégalement à l’aide d’attaques phishing ou de malwares.

Google passe à l’offensive




Cette série d’incidents a poussé Google a annoncé qu’il allait
reconsidérer son approche du marché chinois. Le moteur de recherche
explique qu’il a maintenant décidé qu’il ne censurerait plus ses
résultats et qu’il allait discuter avec les autorités chinoises pour
savoir comment un Google.cn libre pourrait opéré dans la légalité. Le
père du Nexus One a expliqué que dans l’impossibilité de trouver un
consensus, google.cn serait fermé, tout comme ses bureaux dans l’Empire
du Milieu. Google a donc décidé d’attaquer les autorités chinoises avec
cet ultimatum, mais on doute que le gouvernement apprécie un Google non
censuré et se plie à ses exigences.

Microsoft va donner le choix du navigateur dès cette semaine


L’écran
multi-choix ou « ballot screen » en VO fera son apparition cette
semaine sur les PC. Il permet de choisir entre plusieurs navigateurs,
comme y a été obligé Microsoft.

Douze navigateurs au choix




Voulu par la Commission européenne, ce système permet à
l’utilisateur de choisir le navigateur qu’il voudra utiliser. Une page
d’explication revient sur ce qu’est un navigateur de manière générique
et en explique son utilité. L’utilisateur est ensuite dirigé vers une
page proposant douze navigateurs au choix.

Cinq seront mis en
avant par défaut (Chrome, Firefox, Internet Explorer, Opera et Safari)
dans un ordre aléatoire. Sept autres, beaucoup moins répandus, suivront
(AOL, Maxthon, K-Meleon, Flock, Avant, Sleipnir et Slim). L’écran
multi-choix sera disponible dans le courant de la semaine via Windows
Update en Angleterre, Belgique et France. Son lancement officiel se
fera le 1er mars, deux semaines avant la date initialement prévue.

Une association monte au créneau contre Chatroulette



association
e-Enfance met aujourd’hui en garde contre le site russe Chatroulette,
vecteur selon lui de dérives pornographiques.

Les contrôles parentaux informés



l’association décrit assez justement le site comme «ayant une
utilisation très (trop ?) simple, permet d'être connecté
instantanément, au hasard, suivant le principe de la roulette russe,
avec un ou une inconnu(e) dans le monde entier, par webcam interposée,
et de dialoguer en direct. Nul besoin d'inscription, ni de paiement et,
bien sûr, aucune ne censure », avant d’ajouter : « En quelques clics
sur ce site, plusieurs membres d'e-Enfance sont tombés sur des scènes
pornographiques. »

L’association précise toutefois que la le
logiciel de contrôle parental d’Orange fonctionne avec ce site. Les
autres éditeurs de contrôle parental vont être rapidement contactés par
l’association selon l’AFP. Pour l’association « il y a un risque qu'une
population marginale envahisse son site e t le récupère ». La
semaine dernière on apprenait que ce mystérieux site avait été créé par
une jeune russe de 17 ans.

Chatroulette affole le Web




le dernier site à la mode. Une Webcam, des milliers d’internautes
et une bonne dose de hasard sont les fameux ingrédients d’une recette
qui fait polémique.

L'inconnu en tout anonymat



Internet permet de communiquer avec la Terre entière, mais plus que
tout avec ses amis, en atteste le succès des réseaux sociaux
conventionnels tels que Facebook. Chatroulette prend le contrepied de
ce mode de fonctionnement. Il propose à l’internaute de le connecter
avec n’importe qui et en tout anonymat…

Qu’il soit d’Espagne,
d’Argentine ou du Vietnam, homme ou femme (et parfois animal !), on ne
sait jamais sur qui on va tomber en cliquant sur « Start ». Voici donc
la loterie de la vie rapportée au Web, laissant le hasard seul décideur
du nouvel interlocuteur.

"Show me your tits"



Dans son utilisation, Chatroulette ressemble à n'importe quelle
autre application de messagerie instantanée avec sa boîte de dialogue
et ses deux fenêtres de Webcam.

Ce sont d’ailleurs elles qui ont
fait buzzer Chatroulette. Bien que l’on puisse y croiser des personnes
censées être intéressantes, on tombe aussi régulièrement sur des images
peu conventionnelles. Des pénis en pagaille, des vidéos zoophiles, des
messages "montre-moi tes seins" ou encore quelques huluberlus qui se
cachent sous des collants colorés, c’est aussi ça Chatroulette.

Next



A l'abri derrière son écran, l’internaute peut faire ce qui lui
plaît sans avoir peur des représailles. Si une personne ne convient
pas, il suffit d’ailleurs de cliquer sur « Next » pour remettre en
marche la fabuleuse roulette sociale.

Mais les débordements
étant légions, les administrateurs du site ont décidé d’ajouter un
onglet de censure et de déconseiller l’usage de Chatroulette aux moins
de 16 ans. La fièvre du hasard est-elle pour autant périmée ? Rien
n’est moins sûr. Malgré les nouvelles dispositions, Chatroulette
enregistre encore en cette fin de journée plus de 16 000 utilisateurs
connectés.

L'Iran coupe l'accès à Gmail


Google a finalement confirmé que le gouvernement iranien avait fermé l’accès à son service Gmail.

Twitter reste disponible



Depuis hier, les Iraniens n’ont donc plus du tout accès à leur boite
e-mail Gmail. « Nous avons entendu de la part d'internautes en Iran
qu'ils avaient des problèmes pour accéder à Gmail. Nous pouvons
confirmer une forte baisse du trafic, et nous avons examiné nos
réseaux : nous avons découvert qu'ils fonctionnaient correctement »,
précise la société qui ne peut donc remédier au problème.

Le
Wall Street Journal affirme que la suspension de la messagerie de
Google est justifiée par le lancement d’un équivalent iranien, réservé
aux résidents. Cette coupure intervient pourtant en pleine célébration
du 31e anniversaire de la Révolution islamique. De nombreuses
contre-manifestations sont prévues, pourtant Twitter, l’un des sites
les plus utiles aux opposants reste toujours disponible.

La Finlande enquête sur Google Street View




Un
Finlandais a été pris en photo par la Google Car alors qu’il était
assis dans son jardin, avec une simple chemise pour tout habit. Il a
porté plainte contre Google Street View pour violation de la vie privée.

Risque : un an de prison ferme et une amende



La police de la petite bourgade de Raache au nord de la Finlande a
accepté la plainte et a ouvert une enquête. Interrogé par l’AFP,
l’inspecteur Hannu Vainionpää a déclaré que l’« on peut voir un homme
assis sur une chaise à bascule. Il porte une chemise, mais pas de
pantalon. » Néanmoins, on ne sait pas si l’homme pouvait être reconnu.

La
justice finlandaise est claire sur le droit à la vie privée. Ainsi, la
surveillance non autorisée peut valoir jusqu’à un an de prison ferme et
une amende. Ce n’est pas la première fois que Google montre sur Street
View des personnes dans des positions équivoques. Vous pouvez
d’ailleurs en retrouver un florilège ci-dessous.

Un SMS pour ne pas oublier ses impôts ?




« Vous
devez bientôt payer vos impôts. » Voici le genre de SMS que les
Français pourraient recevoir si le gouvernement pousse son projet à
terme.

Un système en vogue à l'Est



Il souhaite en effet mettre en place un système de rappel par SMS et
email sur les opérations ponctuelles comme le renouvellement d’une
carte d’identité ou les déclarations d’impôts.

Inspiré des
pays de l’Est, ce système est notamment utilisé en Roumanie. L’Agence
pour l’Emploi y envoie des SMS aux chômeurs à chaque fois qu’une offre
peut leur correspondre.

Basé sur IDéNum



En France, l’alerte par SMS passera par le label IDéNum.
L’identifiant électronique unique et sécurisé de Nathalie
Kosciusko-Morizet, secrétaire d’Etat à l’économie numérique, pourra
être ajouté à un terminal mobile ou une clé USB. Une fois connectés à
un ordinateur, ces appareils fourniront l’identification de l’usager
qui n’aura plus qu’à saisir son code PIN en ligne. Une vingtaine de
partenaires sont déjà en place comme La Poste, SFR, mais aussi des
banques et assurances. Les rappels gouvernementaux pourront donc se
fondre entre deux avis de son banquier.