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| | INFOS SANTE !! | |
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BILLYWILL
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| | | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Jeu 3 Déc - 10:52 | |
| Les neurosciences au service de la recherche sur le suicide
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Chaque année en France, ce sont plus de 10 000 personnes qui mettent fin à leurs jours. Ainsi, le suicide est la première cause de mortalité entre 15 et 44 ans. Si la dépression est un facteur de risque majeur, toutes les personnes dépressives ne se suicident pas, loin de là. Les neurosciences, dont la neurobiologie notamment, au moyen de la génétique et de la neuro-imagerie plus récemment, ont permis d’identifier des anomalies qui apportent des éléments pour mieux comprendre la vulnérabilité suicidaire. Le but de tous ces travaux de recherche étant in fine d’apporter au patient une meilleure prise en charge, insuffisamment adaptée à l’heure actuelle.
Ainsi en ce qui concerne la neurophysiologie, l’hypothèse de départ est qu’il y aurait, au niveau du cortex orbitofrontal, un dysfonctionnement sérotoninergique qui pourrait expliquer la vulnérabilité suicidaire. L’équipe du professeur Philippe Courtet a ainsi démontré que la prise de décision était une fonction cognitive impliquée dans la vulnérabilité suicidaire.
Du côté de la génétique, pour le professeur Frank Bellivier, de l’équipe « Psychiatrie génétique » à l’Institut Mondor de recherche biomédicale (unité Inserm 513) à Créteil, « Si on parle de facteur de vulnérabilité génétique, il ne s’agit en aucun cas de maladies génétiques au sens où il existerait un « gène du suicide ». De nombreux autres facteurs interviennent ce qui fait des conduites suicidaires un ensemble de troubles multifactoriels complexes.
Source : Communiqué Inserm « Les neurosciences au service de la recherche sur le suicide » 17/11/09
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| | | BILLYWILL
Nombre de messages : 556 Localisation : DEVANT SON ECRAN à TOULOUSE Date d'inscription : 31/07/2008
| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Jeu 3 Déc - 10:55 | |
| Cancer colorectal : des avancées contre la récidive
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En France, le cancer colorectal est le troisième cancer le plus fréquent après ceux du sein et de la prostate. L'équipe Inserm, Immunologie et cancérologie intégrative dirigée par Jérôme Galon (Inserm 872, Centre de recherche des Cordeliers -UPMC-) et la plate-forme d’immunologie des tumeurs de l’Hôpital européen Georges-Pompidou (AP-HP) dirigée par le Pr. Franck Pagès, du service du Pr. Wolf-Hervé Fridman, ont démontré l'association entre une forte concentration de lymphocytes T cytotoxiques et mémoires au site de la tumeur et une moindre fréquence de récidive du cancer ainsi qu’une survie prolongée des malades souffrant d'une forme précoce de cancer colorectal. Leur étude est accessible sur le site du Journal of Clinical Oncology.
D’après leur dernière étude, une forte présence de cellules immunitaires particulières, appelées lymphocytes T cytotoxiques et lymphocytes T mémoires, au site de la tumeur est un élément prédictif de l’absence de récidive du cancer et d’une survie prolongée des malades atteints d’un cancer colorectal de stade précoce. Ainsi, à peine 5 % des patients qui présentaient une forte densité de lymphocytes T cytotoxiques et lymphocytes T mémoires, ont vu leur cancer récidiver et plus de 85 % des malades ont survécu, cinq ans après la découverte du cancer. A l’inverse ces taux passent respectivement à 75 % et 27,5 % pour les patients qui avaient une faible densité de ces lymphocytes. Leur travail pourrait permettre de mieux définir les patients à haut risque de récidive, une fois qu’ils ont été traités par chirurgie et offre des perspectives pour limiter les récidives grâce à des stratégies cherchant à stimuler la réponse immunitaire (on parle d'immunothérapie). Ces travaux ont reçu les soutiens financiers de l’Institut National du Cancer (INCa), de l’Association pour la Recherche sur le Cancer (ARC), du cancéropôle -région Ile-de-France, de la Ville de Paris, de la commission européenne (FP7-Geninca), et de l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale).
Source : communiqué Inserm |
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| | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Jeu 3 Déc - 10:57 | |
| Plan National sur les Résidus de Médicaments dans les Eaux : c’est parti !
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Roselyne Bachelot et Chantal Jouanno ont installé le Comité national de pilotage du Plan sur les résidus de médicaments dans les eaux.
Depuis plusieurs années, la communauté scientifique, les pouvoirs publics et le public s’interrogent sur la présence de résidus de médicaments humains et vétérinaires, à l’état de traces, dans les eaux de surface et souterraines, les rejets d’eaux usées, les organismes aquatiques et dans l’eau potable, ainsi que sur leurs effets sur l’environnement et la santé humaine.
Lundi 23 novembre, Roselyne Bachelot-Narquin et Chantal Jouanno, la Secrétaire d’Etat chargée de l’Écologie, ont installé le comité national de pilotage. Il est chargé de l’élaboration et du suivi du futur plan national sur les résidus de médicaments dans les eaux.
Dans l’esprit du Grenelle de l’environnement, ce comité est constitué de professionnels de la santé, de représentants d’organismes nationaux de recherche et d’expertise, d’associations environnementales, de consommateurs et d’usagers, de représentants de l’industrie pharmaceutique, de sociétés savantes, d’élus.
Les 2 ministres ont manifesté leur confiance sur la qualité et la pertinence des contributions qui seront apportées à l’issue de cette consultation prévue jusqu’à la fin de l’année.
2 axes forts sont proposés pour l’élaboration de ce plan national sur les résidus de médicaments dans les eaux : * l’évaluation des risques environnementaux et sanitaires au moyen d’un renforcement des connaissances sur l’état des milieux et sur l’exposition aux résidus de médicaments et leurs effets sur l’environnement et la santé. * la gestion de ces risques potentiels par la mise en place de stratégies visant à réduire les sources de pollution et à renforcer la surveillance.
L’impact sur la santé des dégradations de l’environnement est une préoccupation majeure de santé publique. L’élaboration de ce plan constitue un engagement fort du Grenelle de l’environnement et s’inscrit dans le deuxième plan national Santé-environnement.
C.
Source : Ministère de la Santé. |
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| | | louis31 Admin
Nombre de messages : 3059 Age : 82 Localisation : Allemagne Date d'inscription : 01/08/2008
| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Jeu 3 Déc - 10:59 | |
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| | | BILLYWILL
Nombre de messages : 556 Localisation : DEVANT SON ECRAN à TOULOUSE Date d'inscription : 31/07/2008
| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Jeu 3 Déc - 11:07 | |
| - louis31 a écrit:
- MERCI POUR CES INFOS
Avec Plaisir Louis !! | |
| | | BILLYWILL
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| | | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Jeu 3 Déc - 16:52 | |
| Grippe : 516 000 nouveau cas 03/12/2009 |
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En France métropolitaine, la semaine dernière, l’incidence des syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimée à 821 cas pour 100 000 habitants (soit 516 000 nouveaux cas), au-dessus du seuil (158 cas pour 100 000). En 12 semaines d’épidémie, le nombre de consultations pour syndromes grippaux a été estimé à 2 240 000.
Au niveau régional, les vingt deux régions de France métropolitaine avaient dépassé le seuil épidémique la semaine dernière. Les incidences les plus élevées ont été notées en : Alsace (1455 cas pour 100 000), Limousin (1428), Languedoc-Roussillon (1221), Champagne-Ardenne (1147), Rhône-Alpes (1119), Nord-Pas-de-Calais (1108), Franche-Comté (1035), Pays-de-la-Loire (1031), Centre (944), Provence-Alpes-Côte-d’Azur (907), Corse (787) et Auvergne (731).
Concernant les cas rapportés, la semaine dernière, l’âge médian était de 13 ans (3 mois à 88 ans); les hommes représentaient 51% des cas.
Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité (taux d’hospitalisation des cas rapportés de 0,8%). Les hospitalisations rapportées ont été demandées pour les motifs suivants : 7 pour surveillance chez des personnes présentant des facteurs de risque (nourrissons ou femmes enceintes), 5 pour des complications respiratoires (dont 3 présentant des facteurs de risque) et 1 pour complication de type "syndrome méningé". L’âge médian des cas d’hospitalisation était de 4 ans (3 mois à 78 ans), de 6 mois pour les patients hospitalisés pour surveillance (3 mois à 27 ans) et de 10 ans pour les patients hospitalisés pour de réelles complications (3 mois à 78 ans). Estimation de la part attribuable à la Grippe
Grâce à un modèle de régression périodique appliqué aux données historiques de surveillance, le réseau Sentinelles estime, pour chaque semaine, la part attribuable à la grippe parmi les consultations pour syndromes grippaux. Ce nombre de consultations correspond à l’excès de consultations pour syndromes grippaux observé par rapport à ce qui serait attendu à cette période de l’année s’il n’y avait pas une épidémie de grippe, des syndromes grippaux pouvant être dues à d’autres virus (détail du calcul sur la page Méthodes du site Sentinelles : www.sentiweb.fr/?page=methodes). Ainsi pour la semaine 48, le nombre de consultations attribuables à la grippe parmi les consultations pour syndromes grippaux est estimé à 461 000, [intervalle de prédiction à 90 % : 416 000 ; 506 000]*. Cette estimation est plus élevée que celle de la semaine précédente (328 400 en semaine 47 données consolidées au 30 novembre).
En 12 semaines d’épidémie, le nombre de consultations pour grippe a été estimé à 1 863 000 [1 336 000 – 2 222 000]. Cette estimation prend en compte les cas de grippe vus en médecine générale répondant à la définition du réseau Sentinelles. Elle ne prend pas en compte les cas de grippe ne répondant pas à cette définition ou non vus par les médecins généralistes.
Source : Communication reseau Sentinelles semaine 2009s48 02/12/09
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| | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Ven 4 Déc - 13:32 | |
| Multaq : le nouvel anti-arythmique 03/12/2009 |
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Sanofi-aventis obtient l’autorisation de mise sur le marché de Multaq® (dronédarone – comprimés de 400 mg) par la Commission Européenne, dans les 27 États membres de l’Union Européenne.
Multaq® est indiqué chez les patients adultes, cliniquement stables, avec un antécédent ou un épisode en cours de fibrillation atriale non permanente, pour prévenir la récidive de fibrillation atriale ou pour ralentir la fréquence ventriculaire.
Découvert et développé par sanofi-aventis, Multaq® est le premier anti-arythmique approuvé dans l’Union européenne à avoir montré, dans l’étude ATHENA, un bénéfice clinique de réduction du risque d’hospitalisation d’origine cardiovasculaire ou de mortalité toutes causes confondues chez les patients atteints de fibrillation atriale / flutter atrial.
L'étude ATHENA est la plus grande étude jamais menée sur un anti-arythmique auprès de patients atteints de FA/FLA. Elle a inclus 4 628 patients et son suivi a duré 30 mois. Cette étude a atteint son objectif principal en démontrant, en complément d’un traitement conventionnel, que la dronédarone réduit de 24% le risque d’hospitalisation d’origine cardiovasculaire ou de décès par rapport au placebo.
« L’approbation de Multaq® dans l’Union Européenne est une importante nouvelle pour les patients souffrant de fibrillation atriale qui ont désormais accès à une nouvelle approche thérapeutique», a déclaré le Dr Marc Cluzel, Vice-Président Exécutif, Recherche et Développement, sanofi-aventis.
La fibrillation atriale touche près de 4,5 millions de personnes dans l’Union Européenne où elle représente environ un tiers des hospitalisations pour arythmies
Source : communiqué de presse Sanofi-Aventis 30/11/09 |
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| | | BILLYWILL
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| | | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Ven 4 Déc - 16:06 | |
| Lancement d’un dispositif national de vigilance sur les compléments alimentaire
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En juillet dernier, la loi HPST a confié à l’Afssa la mise en place du système de vigilance sur les nouveaux aliments, les compléments alimentaires, les aliments qui font l’objet d’adjonction de substances à but nutritionnel ou physiologique ainsi que sur les produits destinés à une alimentation particulière.
Un décret d’application va fixer, au 1er semestre 2010, les modalités de mise en oeuvre de ce système de vigilance.
L’Agence débute donc cette mission par une phase pilote sur la vigilance des compléments alimentaires, mission qui devrait permettre de mieux identifier les effets indésirables liés à leur consommation. Ce dispositif comprend la déclaration des effets indésirables observés chez les personnes ayant consommé des compléments alimentaires par les professionnels de santé. Ces déclarations, bien entendu, préservent l’anonymat du consommateur. Elles seront adressées par internet ou par voie postale à l’Afssa. Elles seront analysées au sein d’un comité technique constitué de représentants des principales organisations en charge de vigilance et de surveillance en France, en interrogeant, si nécessaire, les partenaires de l’Agence au niveau européen et ses comités d’experts spécialisés.
Dès aujourd’hui, les professionnels de santé peuvent avoir accès au dispositif de vigilance sur le site de l’Afssa. L’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments mettra en place les actions nécessaires pour leur permettre de participer pleinement à la vigilance de ces produits et plus largement à celle des aliments visés par la loi, durant le 1er semestre 2010.
L’Afssa souhaite ainsi confirmer sa volonté de poursuivre sa contribution à toutes les actions qui permettront de mieux assurer la sécurité du consommateur.
C.
Source : Ministère de la santé et l'Afssa |
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| | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Ven 4 Déc - 16:08 | |
| Assurance de prêts : davantage de solutions pour les personnes ayant un risque aggravé de santé
| Près de 11 % des demandes d’assurance de prêts (soit plus de 173 000 dossiers) présentent un risque aggravé de santé. |
Au cours du premier semestre 2009, les sociétés d’assurance ont reçu 1,6 million de demandes d’assurance de prêts au titre des crédits immobiliers et professionnels. Près de 11 % des demandes d’assurance de prêts (soit plus de 173 000 dossiers) présentent un risque aggravé de santé. Cette proportion est légèrement supérieure à celle de l’année 2008. Parmi ces dossiers, 96 % (soit 2 % en plus qu’en 2008) ont fait l’objet d’une proposition d’assurance couvrant au moins le risque décès.
100 % de ces propositions d’assurance incluent une couverture décès. Elles ont été faites dans 55% des cas aux conditions standard du contrat (contre 50 % en 2008), dans 44 % des cas avec une surprime (contre 49 % en 2008) et dans 1 % des cas sans surprime mais avec exclusion ou limitation de garanties.
Quant aux demandes comprenant également la couverture Perte Totale et Irréversible d’Autonomie, 89 % d’entre-elles ont été acceptées, dans 42 % des cas aux conditions standard du contrat, dans 44 % des cas sans surprime mais avec exclusion ou limitation des garanties et dans 3% des cas avec une surprime.
En ce qui concerne les demandes de couverture « incapacité-invalidité », 76 % d’entre-elles ont reçu une réponse positive, dans 22 % des cas aux conditions standard du contrat, dans 51 % des cas sans surprime mais avec exclusion ou limitation de garanties et dans 3 % des cas avec une surprime.
Communiqué de la FFSA |
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| | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Ven 4 Déc - 16:10 | |
| Marche [vite] ou gare à ton cœur !
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D’après l’étude épidémiologique « les trois cités », Alexis Elbaz, chercheur d’une unité mixte Inserm/UPMC, montre que les personnes de plus de 65 ans marchant lentement ont une augmentation du risque de décès, en particulier d’origine cardiovasculaire par rapport aux marcheurs rapides.
L’étude des Trois Cités (3C), qui se déroule à Bordeaux, Dijon et Montpellier, a pour but d'étudier la relation entre pathologie vasculaire et démence grâce au suivi d’une cohorte de plusieurs milliers de personnes âgées de plus de 65 ans. Outre l'étude des maladies cérébrales majeures (maladie d’Alzheimer et accidents vasculaires cérébraux) elle permet également d'aborder d'autres questions de santé publique en rapport avec le vieillissement (alimentation, consommation médicamenteuse, dépression, handicap et incapacités, etc.).
Dans le cadre de cette grande cohorte, une équipe de l’unité mixte Inserm-Université Pierre et Marie Curie UMRS 708 "Neuroépidémiologie" dirigée par Christophe Tzourio, a étudié la vitesse de marche en relation avec la mortalité. De précédentes recherches avaient suggéré qu’une vitesse lente de marche était associée à une plus grande mortalité mais sans que les causes spécifiques de décès n'aient été étudiées. Les chercheurs de l'U708 ont confirmé qu'il y avait une relation entre vitesse lente de marche et mortalité, et ont montré qu'il s'agissait d'une augmentation de la mortalité cardiovasculaire.
L’étude menée sur 3200 sujets et publiée en ligne sur le British Journal of Medicine, révèle que les sujets marchant le plus lentement ont un risque de décès, quelle que soit la cause, augmenté de 44% par rapport aux autres participants marchant plus vite. Cette augmentation est principalement due à un risque de décès d’origine cardiovasculaire multiplié par trois. Ces résultats sont observés chez les hommes comme chez les femmes, quel que soit l’âge, et indépendamment du profil cardiovasculaire.
Source : Communiqué Inserm |
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| | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Ven 4 Déc - 16:11 | |
| Risque cardio-vasculaire : la Lorraine sous surveillance
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Déterminisme génétique, influence de l'environnement, de l'alimentation, des modes de vies et des systèmes de soins ? Les hypothèses ne manquent pas pour trouver une explication à ce chiffre inquiétant : le risque cardiovasculaire est 30% plus élevé pour les personnes naissant et vivant en Lorraine que dans le reste de la France. Pour éclaircir ce mystère un projet européen baptisé « Nutrition, Environnement et Santé Cardio-Vasculaire » est lancé sur la région.
L'Union Européenne lance cette vaste étude interrégionale épidémiologique, la première du genre, sur des panels de populations luxembourgeoises (1400 personnes), wallonnes (800 personnes), sarroises (50 personnes) et lorraines (800 personnes). Objectif général de cette opération d'envergure qui s'échelonnera jusqu'en 2011 et qui est financée à moitié par les fonds européens du FEDER et à moitié par les partenaires : la création d'une alliance transfrontalière de prévention et de promotion de la santé cardio-vasculaire pour la Grande Région.
Développé autour de 3 axes, le projet s’intéressera en détail à l’alimentation, à l’exposition à certains polluants (pesticides et hydrocarbures) et même à la quantité de polluants atmosphériques contenue dans les cheveux des membres des panels. Cette enquête comportera des questionnaires, des mesures anthropométriques et des analyses biologiques.
Le CHU de Nancy est partie prenante de ce projet européen aux côtés du Centre de Recherche Public de la Santé du Grand Duché du Luxembourg, de l'Ecole de Santé Publique de l'Université de Liège et de l'Université de la Sarre.
Les résultats de cette étude pourront sans doute servir de base de travail à la future ARS chargée de décliner la politique de santé publique nationale au niveau régional en tenant compte des particularités du territoire.
A.
Source : communiqué de presse CHU Nancy |
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| | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Ven 4 Déc - 16:15 | |
| Des recommandations pour traiter la douleur aiguë de l’enfant
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La lutte contre la douleur est l'un des enjeux majeurs du système de santé, en particulier en pédiatrie.
Ces nouvelles recommandations publiées par l’Afssaps, ont pour but de contribuer à l’harmonisation des pratiques pédiatriques. En effet, de nombreux progrès ont été réalisés dans le domaine de la prise en charge de la douleur.
Ces recommandations abordent des situations de prise en charge de la douleur en milieu hospitalier et quelques situations particulières en ville : Douleur postopératoire (anesthésie loco-régionale, antalgiques utilisés en postopératoire), Soins douloureux (solutions sucrées orales,anesthésiques locaux topiques, MEOPA, kétamine). Douleur neuropathique et situations cliniques particulières en ville (migraine, dysménorrhée, angine, otite, vaccination) et à l'hôpital (brûlures, fractures aux urgences et en pré-hospitalier, douleur abdominale aiguë de la fosse iliaque droite aux urgences et en pré-hospitalier, mucites, soins douloureux, pose de sonde nasogastique, amygdalectomie, crise aiguë drépanocytaire).
5 à 10 % des enfants présentent d’authentiques crises migraineuses. Dans ce cas les recommandations préconisent un traitement précoce. L’ibuprofène 10 mg/kg est recommandé car son efficacité est supérieure a celle du paracétamol 15 mg/kg. En cas de vomissements, le diclofenac rectal ou le sumatriptan nasal (à partir de 12 ans) doivent être utilisés. On ne doit pas donner d’opioides (faibles et forts) en traitemenrt de crise. En traitement de fond, aucun médicament ne peut être recommandé en revanche l’apprentissage des méthodes psycho corporelles (relaxation, auto-hypnose…) peuvent être recommandées.
A.
Source : Afssaps communiqué |
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| | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Mar 8 Déc - 22:06 | |
| Les infections invasives à méningocoques en légère diminution 08/12/2009 |
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Depuis plus de 20 ans, le taux d’incidence annuel des infections invasives à méningocoques (IIM) en France varie entre 1 et 2 cas pour 105 habitants. Le suivi épidémiologique des IIM repose sur la déclaration obligatoire et la caractérisation des souches invasives par le Centre national de référence des méningocoques.
En 2008, 689 IIM ont été déclarées ce qui correspond à un taux d’incidence, corrigé pour la sous-déclaration, de 1,2 pour 105. Les taux d’incidence les plus élevés ont été observés chez les enfants de moins de 1 an (13,2/105), les 1-4 ans (5,0/105) et les 15-19 ans (2,4/105).
Les formes cliniques sévères, principalement le purpura fulminans, représentaient 29% des cas. La létalité des IIM était plus élevée en présence de purpura fulminans (23%) qu’en absence (6%, p<0,001). Elle était plus élevée pour les IIM C (26 décès soit 19%) que pour les IIM B (38 décès soit 9%, p<0,01).
Le taux d’incidence des IIM, qui avait augmenté entre 1996 et 2003, était en légère diminution entre 2004 et 2008. En 2008, le sérogroupe B restait prédominant et la létalité était plus élevée pour les IIM C.
En Seine-Maritime, département le plus touché de France, l’hyperendémicité des IIM dans la zone de Dieppe persistait encore à un niveau élevé fin 2008 (6,5 cas pour 105 habitants contre 0,9 dans le reste du département). Mais la campagne de vaccination mise en place par le vaccin MenBvac auprès des enfants et adolescents de 2 mois-19 ans commence à porter ses fruits. L’incidence a commencé à diminuer dès avril 2008 et est devenue nulle pour la période septembre 2008-août 2009, ce qui est en faveur d’un impact épidémiologique de cette campagne de vaccination (les primo-vaccinations se sont achevées au printemps et la majorité des rappels à l’hiver 2008).
En revanche, fin 2008, l’incidence de cas d’IIM B:14:P1.7,16 a augmenté dans une zone située à l’ouest d’Abbeville dans la Somme, zone proche de Dieppe suggérant l’émergence d’un nouveau foyer d’hyperendémicité. Une campagne de vaccination par le vaccin MenBVac_ a débuté en mars 2009 pour les enfants âgés de 2 mois à 19 ans dans ce secteur3.
Source : InVS BEH, |
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| | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Sam 19 Déc - 11:00 | |
| Troubles psychiatriques sévères chez les SDF 16/12/2009 |
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Il n’y avait pas eu d’enquête sur la santé mentale des adultes sans logement depuis les années 90. Eh bien c’est chose faite aujourd’hui. Résultat : 32% des SDF présentent un trouble psychiatrique sévère et parmi eux, 40% des 18-25 ans.
L’étude a été effectuée auprès de 859 personnes par l'observatoire du Samu social de Paris et l'Inserm. Une étude missionnée par les pouvoirs publics. Elle met en évidence que la fréquence des troubles psychotiques est, en général,10 fois plus importante chez les SDF que dans la population générale. Elle montre aussi que la fréquence des troubles dépressifs est 4 fois plus importante, et que les jeunes sont particulièrement touchés.
32% des personnes interrogées présentent un trouble psychiatrique sévère. 21%, soit 1 personne sur 5, montre un trouble de la personnalité ou du comportement. Par ailleurs, 13% montre un risque suicidaire moyen ou élevé. Concernant les 18-25 ans, 4 sur 10 présentent un trouble psychiatrique. 1 jeune sur 5 est déjà dépendant à l'alcool. ¼ consomme régulièrement du cannabis.
Les 859 personnes interrogées ont été tirées au sort dans les services d'aide (centres d'hébergement, accueils de jour, points soupes...) et interviewées par un enquêteur et un psychologue. Les diagnostics ont été établis par un psychiatre.
C.
Source : AFP. |
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| | | BILLYWILL
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| Sujet: Re: INFOS SANTE !! Jeu 7 Jan - 9:30 | |
| Grand froid : les médicaments peuvent présenter un risque
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Un épisode de grand froid peut entraîner des modifications physiologiques, des accidents aigus comme l'hypothermie et surtout une aggravation de pathologies pré-existantes.
L'adaptation au froid met en jeu des mécanismes de défense dont l'efficacité peut-être diminuée ou retardée.
Certains sujets fragilisés s'adapteront plus lentement et plus difficilement à des températures extérieures basses.
C'est notamment le cas des personnes âgées, ce d'autant plus qu'elles sont atteintes de pathologies chroniques, les patients souffrant en particulier de maladies cardiovasculaires, respiratoires - y compris l'asthme - ou neuropsychiatriques, et traités en conséquence par des médicaments.
La connaissance de l'ensemble des facteurs de risque, y compris le traitement médicamenteux déjà en place, permettra de proposer les mesures de prévention et de suivi adaptées à mettre en œuvre.
En l’absence d’étude épidémiologique sur le rôle des médicaments, on peut seulement expliquer et prévoir, sur la base de leurs mécanismes d’actions, les effets potentiellement délétères de certains médicaments sur l’adaptation de l’organisme au froid.
M.
Source Afssaps |
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| | | BILLYWILL
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